Singapour, mardi 26 octobre 2011 (J+71) - bis

Publié le par journaldebordmadeinsingapour

A Singapour, Arnaud et moi on aime…

- Manger sur la terrasse tous les jours ou presque, pieds nus de surcroit, et avec des glaces à chaque dessert ou presque.

- Le sourire de nos filles après la piscine quand elles courent à la maison en criant « au bain au bain ! » dans les allées du condo.

- Se dire qu’on est dans une ville au coeur de l’Asie où tout va vite et qui te fait un peu sentir comme « the place to be » les jours de mégalomanie.

- L’odeur de jasmin dans les rues de Little India et celles des fleurs de frangipanier le long de Bukit Timah.

- Le petit courant d’air bien froid au niveau des chevilles qui te rappelle que tu passes encore devant une boutique de luxe sur Orchard. On n’aime ou on n’ aime pas ?... pas très écolo tout ça !

- Acheter encore et encore des tongues et me dire que ceux-là pas besoin d’attendre l’été prochain pour les mettre.

- Les parfums de bouffe du monde entier au food court du Tekka Market.

- Les cris d’oiseaux inconnus dans les arbres autour de la terrasse.

- L’eau froide de la douche après avoir emmené Mathilde à l’école en vélo et monté les 3 étages de la maison. Encore mieux après avoir traversé la ville à vélo.

 

On n’aime pas, voire on déteste :

- L’accent pourri du chauffeur de taxi qui fait semblant de parler mieux anglais que toi.

- La sensation de rentrer dans un four chaud quand tu sors de la chambre de Martin.

- La façon dont cet Etat traite les travailleurs étrangers (pas les expats, les autres…) comme des citoyens des humains de seconde zone.

- Constater que les grandes marques de fringues ne font aucun effort d’adaptation au marché local et m’entendre dire par un vendeur quand je m’étonne de la faiblesse du rayon maillots de bain « mais c’est l’hiver Madame ». Connard, l’hiver il est resté en Europe.

- L’odeur du durian, ce fruit qui rappelle qu’on ne sera jamais asiatique (mais qui pue tellement qu’il est interdit dans le métro).

- La barre à étendre le linge que la maid de la voisine fait tomber sur sa terrasse un matin sur deux à 6h du matin.

- Les 4587115 sacs en plastique chaque fois que tu fais des courses.

- Etre loin des Alpes – valable pour les deux mais pour des motifs différen

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